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L´héroïne Ello du mois - Jo Robberechts

09mrt2011

Jo Robberechts

"Est-ce que ça marche vraiment ?" Une question que notre héroïne Ello du mois se posait, à l’instar de celles et ceux qui envisagent de devenir Ello Mobile. Le concept semble être trop beau pour être vrai. Et pourtant… Aujourd’hui, Jo Robberechts ne se contente pas uniquement de téléphoner avec Ello Mobile. Elle en parle aussi à tout le monde. Largement de quoi mériter de figurer à tout jamais au palmarès des héros Ello.

Âge : 32 ans
Domicile : Zaventem
Profession : collaboratrice éducative chez Groep Intro, à Bruxelles
Loisirs : les voyages en routard, la photo, la couture, la musique, la lecture, bien manger et faire des créations en papier, la peinture et le pastel

Comment avez-vous découvert Ello ?

J’allais souvent chez JJ-Records, un magasin de CD à Leuven. Sur le comptoir, il y avait toujours des brochures et des cartes sympa, dont ceux d’Ello Mobile. Je dois avouer qu’au début, j’étais un peu sceptique : je voulais bien croire qu’Ello était née de bonnes intentions, mais vous savez ce qu’on dit des bonnes intentions… J’avais donc mes doutes. Mais les utilisateurs Ello que je connaissais m’en ont parlé avec tellement d’enthousiasme que je me suis finalement décidée. Pourtant, j’ai encore un peu attendu avant de franchir le pas : j’avais un abonnement GSM professionnel et je l’ai donc gardé. Mais le jour où j’ai changé de travail, j’ai immédiatement fait de même pour mon opérateur.

Pourquoi avoir choisi Ello ?

Pour être honnête, je suis un peu fainéante. Comparer les différents opérateurs, leurs avantages et leurs inconvénients, voir quel montant je pourrais économiser, etc. C’est une corvée plus qu’autre chose. De plus, lorsque les opérateurs organisent des actions promotionnelles, j’ai toujours l’impression qu’au final, ils en profitent plus que moi. Ello Mobile n’a pas les mêmes objectifs et ne cherche donc pas à tout prix à vous proposer des promos et des tarifs temporaires à première vue intéressants. Ils s’efforcent simplement de vous offrir le tarif le plus bas possible. Pas besoin de réfléchir : vous savez que vous bénéficiez d’un bon prix dans la moyenne. Vous êtes donc toujours gagnant.

Quel projet soutenez-vous ? Pourquoi ?

Je travaille à temps plein avec des personnes qui, pour certaines raisons, ont des difficultés à se prendre en charge ou à se défendre. Mais attention : je ne le fais pas à leur place. Je leur apprends à le faire. Nous leur offrons une chance que d’autres n’ont pas, mais au final, c’est eux qui doivent se prendre en mains. Les projets que je soutiens en téléphonant avec Ello s’inscrivent dans cette philosophie. Mobile School en Amérique du Sud scolarise des enfants qui, sans aide, n’auraient jamais eu cette chance. Gabriela, l’organisation de défense des droits de l’homme active aux Philippines, apprend aux femmes comment tisser un réseau d’aide et de soutien. Enfin, grâce à ADPM, les jeunes réfugiés palestiniens, au lieu de se faire recruter par des milices, apprennent un métier tout en continuant à vivre une enfance normale, à s’amuser et à faire du sport.

Avez-vous changé vos habitudes depuis que vous savez que chaque conversation et chaque SMS profite à des personnes et des projets qui en ont besoin ?

Non, pas vraiment. Je préfère voir les gens que passer des heures au téléphone. Mais ça me dérange moins de payer ma facture de GSM maintenant que je sais que mon argent ne finit pas dans les poches de quelqu’un d’autre.

Jusqu’où va votre conscience sociale et écologique ? Soutenez-vous d’autres initiatives, outre celles d’Ello Mobile ?

Personnellement, je n’aime pas trop effectuer des versements. Sauf sur le compte d’Oxfam, que je soutiens depuis quelques années déjà. De temps en temps, je verse de l’argent en faveur d’un projet organisé dans le cadre d’une action d’urgence. Mais cela ne représente qu’une petite partie de ce que je donne. La plupart du temps, j’essaie d’acheter des produits écologiques et sociaux. Je téléphone par exemple avec un GSM "vert", je commande des fruits et légumes dans des fermes bio locales et j’achète régulièrement des produits équitables. J’ai aussi choisi un travail en accord avec mon engagement social. Enfin, je fais du volontariat à Bruxelles, même si je dois dire que c’est plutôt un hobby.

Mais je pourrais sûrement faire beaucoup plus, sans que je doive pour autant dépenser de l’argent. Mais c’est tellement difficile d’être tout le temps bien informée, surtout lorsque vous êtes un peu fainéante. (rire)

Comme vous le savez, Ello doit beaucoup au bouche-à-oreille et à la publicité que lui font ses utilisateurs. Avez-vous déjà eu l’occasion d’inciter des amis ou des connaissances à devenir Ello ?

J’espère que oui. En tout cas, celles et ceux à qui je parle d’Ello se montrent souvent très enthousiastes. Certains de mes amis envisagent même de franchir le pas. Mais j’ai bien peur qu’ils soient encore plus fainéants que moi. Et pourtant, il n’y a rien de plus facile ! En plus, ça ne coûte pas un centime.
Et puis, il y a ceux qui vous regardent d’un drôle d’air dès que vous prononcez les mots "bonne cause". C’est un peu dommage.

Quel message aimeriez-vous particulièrement recevoir aujourd’hui par SMS ou par téléphone ?

Un message d’un ami, d’un proche ou d’un collègue qui me dit : "Mon premier SMS Ello. Merci du conseil !".

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